La phrase qui tue

Et ben en fait le jeu de mots de la semaine, c'est peut-être celui-là : "Elle s'appelle Diana Jones. Si on met une caméra dedans, ça fait in Diana Jones!" Ami lecteur qui met des commentaires, vote.

Pierre Desproges encore (oui, je suis dans un cycle Desproges) : "Nous irons à Tananarive, pour voir si Tanana revient." Je vois d'ici vos regards affligés, lecteurs, et je suis content de ne pas les subir.

Pierre Desproges dans ses Chroniques de la Haine Ordinaire : "Les animaux sont moins intolérents que nous : un cochon affamé mangera du musulman."

Afin de mieux faire passer la pilule et avec un aplomb formidable, les réformateurs de l'enseignement supérieur ont décidé depuis un peu plus de 6 mois de changer le système de financement des universités. Et voici le chef d'œuvre : "Le financement des...

Pierre Desproges dans les Chroniques de la Haine Ordinaire : "Le type qui a inventé le fil rouge qui entoure le gruyère, on ne peut quand même pas le tuer?"

Figurez-vous que l'un des masters proposés par l'Université Paris 11 est le suivant : "Master professionnel "Instrumentation et Méthodes d'Analyse Moléculaire" (IMAM)" Ce qui est encore plus amusant (le deuxième effet Kiss Cool), c'est qu'en anglais c'est...

De Terry Pratchett, dans The Fifth Elephant : "A marriage is always made up of two people who are prepared to swear that only the other one snores." En français : "Un mariage est toujours composé de deux personnes qui sont prêtes à jurer que seul l'autre...

Merci aux Cahiers du foot de nous rapporter cette merveille : Emmanuel Petit (L'Équipe TV) : "Il y a beaucoup de gens qui ont essayé de faire ce qu'à fait Lyon ce soir et ils s'en sont mordu les dents". Je suis sûr qu'avec un peu d'imagination on peut...

Un article sur le site www.lequipe.fr annonce que Mickaël Schumacher, l'ancien pilote de F1, a fait un don de 875 € à "son équipe de coeur", le FC Cologne. Réaction d'un internaute : "Hier soir j'ai fait un don à mon club de coeur : j'ai bu une bière...

L'allégorie de l'agriculture, si France Inter voulait lui donner un visage, serait Jacques Chirac : "Un salon de l'agriculture sans lui [Jacques Chirac], c'est un peu comme une tête de veau sans vinaigrette."